Au fil de mes pensées(croyez moi,elles savent vagabonder!)

Et le bruit des centaines d'applaudissements résonna dans la salle mais ne sembla pas plus puissant à mes oreilles qu'un bruissement d'ailes de pappillion. Forcément, le concert m'avais plongée dans une transe musicale qui a fait exploser les barrières mentales que j'avais soigneusement misent en place afin de garder mon imagination débordante(ces le cas de le dire) à sa place, bien rangée au fond de ma tête. Mais elle n'aime pas cela et elle a décidé de sortir de sa comfortable place désignée, encore. Au fil des années,7 Années, j'ai appris à composer avec elle, mon imagination. Elle est moi et je suis elle. Une seule et même personne et pourtant mon corps réagis différemment suivant si c'est elle ou moi "qui est au volant". Est- ce que je suis folle ou bien tout le monde,tout du moins tous les adolescents de 13 ans, ont-ils ce problème. Je ne le sais pas et ne tient pas à le savoir. Et pourtant elle pose la question, vous direz-vous. Eh oui. J'ai assez d'imagination pour poser des questions auquels je n'ai pas envie de répondre. Par exemple: pourquoi mes parents ont-ils divorcé? Pourquoi meurs ont? Combien de sans abri y a -t'il sur la terre? Je ne le sais pas et ne tient pas à le savoir.

J'étais donc encore au fond de ma conscience à converser avec mon imagination-personne-part de moi quand ma mère a saisi mon bras avec rudesse en me faisant signe de me lever pour que je me lève et applaudisse. Je me lève sans conviction et aplaudis sans plus de conviction, ce qui me vaut évidement un regard énervé de ma mère. À partir de là, tous mes gestes sont devenus machinaux, je ne pensais plus. Ni moi ni mon imagination ne comandais. Je crois que c'est dans ces moments là que j'exaspere le plus ma mère. Mais ça ne me dérange pas. Je ne suis jamais seule. Je tourne mon visage vers la gauche. Nous sommes dehors et une neige fine tombe. Je fais un nuage de vapeur dans l'air presque immobile et m'imagine ce qu'il doit ressentir. J'ai froid alors je rentre mes mains dans mes manches. Puis je tourne la tête sur le côté opposé et je la voit. Un fin nuage de vapeur éthérée qui a pris la forme d'une jeune fille qui me ressemble sans être tout à fait moi. Je ferme alors les yeux, un sourire aux lèvres. Et tandis que mon corps continue de marcher vers la voiture, mon esprit est ailleurs. Et je m'envole vers le ciel étoilé, tel un oiseau éphémère.

woaw!!!!!!!!!!!!!!

Merci beaucoup! Je vais essayer de continuer mais il va falloir que je m'y mette...

Vraiment, comme à l'habitude, c'EST SUPER!!!!!!!!!

Dans la forêt d'émeraude, le danger s'éveille rapidement, sans prévenir. Il n'est d'ailleurs pas rare qu'un voyageur égaré disparaisse sans laisser de traces.Et s'il en laisse, elles sont des plus sanglantes. Ha, la forêt d'émeraude, lieu de mystères, de dangers et d'aventures. C'est aussi un lieu de diversité: en lisière des monts Aka, on retrouve les majestueuses cités des elfes d'émeraudes, ces elfes sylvains au sombre passé, au regard dur et au mode de vie violent, incompréensible pour qui n'est pas des leurs, ce mode vie basé sur le pouvoir gagné au fil des tueries. Le coeur de la forêt, quand à lui, ets habité par les Obolds, des elfes miniatures ou, pour certains, des fées. Dans tous les cas, il s'agit de créatures humanoides d'environ 3 pied de haut qui bénificient de la longue durée de vie des elfes mais aussi de leur sagesse, de leurs talents de combatants et de leur beautée. Toutefois, ils ont quelque chose que les elfes n'ont pas: des attributs animaliers. En effet, tous les Obolds disposent d'un trait animal. Ainsi, tandis que certains ont droit à une queue ou des griffes, d'autres sont dotés d'ailes d'oiseau ou bien d'écailles. Mais assez parlé! Instalez-vous confortablemnet et continuez à lire, mon histoire ne fait que commencer...

C'est avec son entrain habituel que Manaelle, une Obolde de 13 ans aux cheveux noirs, aux yeux jaunes et aux ailes de corbeau, courait à travers bois, volait à travers champs pour rattraper un petit oiseau blanc, Imisimtwiyou, Imi de son surnom, qui l'avait défiée, stupidement, à la course. Voyant qu'Imi prenait de l'avance, Manaelle accélléra et le rattarpa sans peine. Losqu'elle arriva à sa hauteur, elle cria: « comment fais-tu pour être aussi lent, Imi?
-j'ai des petites ailes,moi!»
Il faut dire que le pauvre moineau blanc n'était pas bien gros et cela même comparé à la taille naine de la Obolde et il battait des ailes à un rytme frénétique pour ne pas se faire distancer. C'était peine perdue, en quelques instants, le petit oiseau fut loin derrière. La pire position envisageable pour ce petit être sans défense...

Je.vais.gagner. Voila à quoi se résumait les pensées de Manaelle à quelques mètres de sa maison, ligne d'arrivée de leur course. Elle gagna effectivement. Son entrée fut d'ailleurs plus remarquée que si un elfe de feu et son dragon était rentrés dans le chêne centenaire qui tenait lieu de maison à la famille de Manaelle, les Ovadonis. Elle entra en trombe, comme un bolide en criant à tout va sa victoire. Une fois calmée, elle s'assit sur une chaise et attendit Imi. Elle aurait put attendre longtemps. Très longtremps.

Le petit coeur d'Imi battait à tout rompre alors qu'il tentait d'échapper à ses poursuivants, dont il n'avait put voir le visage. Il sentait les flèches l'effleurer et il entendait le froissement des pas des chasseurs. Puis, une douleur fulgurante et finalement, le néant. Le petit oiseau gisait au sol, une flèche à l'empène de plumes vertes et au corps d'ivoire plantée dans sa petite poitrine. Pas une goutte de sang de perlait sur son plumage imaculé.

Après plusieurs minutes passées à attendre Imi, Manaelle sortit de sa maison et partit à la recherche de son ami. Elle le trouva après quelques minutes, gisant au sol. La flèche encore fichée profondément dans sa poitrine. Elle tomba à genou et elle pleura son ami. Soudain, une détermination nouvelle naquit dans son regard d'ambre. Ce n'était pas des chasseurs. Ils auraient prit le corps. Et Manaelle ne connaissait qu'une race capable de tirer des flèches avec une telle précison, sans verser une seule goutte de sang: les elfes. C'est alors qu'elle remarqua les détails de la flèche: en ivoire, avec des plumes vertes. Une seule classe d'elfes utilisait des corps de flèche en Ivoire: les elfes de l'émeraude. Les plus vicieux, les plus dangereux et les plus traitres de tous les elfes. Malgré tout, elle jura alors, à voix haute: « Je te vengerai Imi. Je le jure. Même si je doit me rendre à Nyeman, la capitale des elfes d'émeraude, je te vengerai. je massacrerai ces sales tueurs. »

Ainsi mourut Imisimtwiyou, le meilleur ami de Mannaelle. Et ainsi commenca l'aventure de la petite Obolde. Une aventure qui allait la mener plus loin qu'elle le pensait...

C'est tout simplement super! Vraiment.