La mort.
Profond, solitude.
Tête baissée, j'avance.
Yeux fermés, je recule.
Faux sourire aux lèvres, je continue.
Vide.
Néant.
Ou est-il?
Ou est cet être cher qui m'aimait et que j'admirais?
Mort.
Profond, trop peut-être.
Mais je continue. Je tire la corde, toujours plus fort, je m'accroche.
Je m'accroche aux joies intenses de la vie.
La vie n'est pas finie.
La mienne ne se termine pas.
Un jour, j'irai le rejoindre, mon coeur sera en fête.
Mais ce jour n'est pas encore arrivé, non.
Alors je vie, heureuse et dynamique.
Vivons, entends l'appelle.