Les Mondes de Pierre Bottero
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Les Mondes de Pierre Bottero

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 manuscrit pour publier

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lecorgne
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lecorgne


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Date d'inscription : 18/10/2010
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Localisation : Rennes, en France

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MessageSujet: manuscrit pour publier   manuscrit pour publier I_icon_minitimeLun 14 Nov - 17:44

Je suis là
Devant elle
Et je ne fais rien.
Je ne peux rien faire.

Lorsqu'elle s'en ira
Vers son âme sœur.
Je serais là.
Toujours là.

Les bras ballants
Et le cœur en miettes.
Le cœur en miettes
Et des pensées plein la tête.

Des pensées pour elle,
Pour eux,
Pour moi.

Alors je me retournerais
Et je repartirais
D'où je suis venu.

Indifférent.
Non, pas indifférent !
Heureux.

Heureux.
Parce qu'elle est heureuse
Et je la remercie de me rendre heureux !










Peut être me suis-je trompé.
Peut être que ce n'est pas Elle
Celle qui me dira oui.
Peut être me suis-je égaré
L'amour à fleur de peau.

Et quand sera arrivée
L'heure de s'avouer vaincu
J'aurai la tête haute
Et un autre amour déchu.

Oh Amour ! Amour de ma vie !
Je crois en toi comme au Christ.
La vie et ses pièges impies
Ne sont que des obstacles
A notre règne Infini.


















Temps
Temps sans toi
Tout le temps
Penser à toi
Sans pouvoir s'arrêter
Tu es omniprésente dans mes pensées
Tout le temps sans toi
Tu m'as manquée
Beaucoup
Enormément
Infiniment
Sans limites
Seules celles de l'Univers
Quasiment inexistantes
Inapprochables.
Mon monde sans toi est vide
Rien ou presque n'a de couleurs
Celles que tu lui apportes sont chatoyantes
Tu donnes un sens à ma vie
Tu donnes un sens à mes gestes
Je serais prêt à tout pour toi
Ta perte pourrait s'avérer mortelle pour moi
Besoin de toi pour vivre
A trop te parler, je pourrais finir ivre
Ivre de Joie
Ivre de Bonheur
Ivre de pleurs
Je me meurs.












Le nombre d'étoiles dans le ciel
Ça m'est égal
La beauté de n’importe quelle rose
Ça m'est égal
Le plus grand roi de la terre
Ça m'est égal
Les longs discours politiques
Ça m'est égal
Simplement parce qu'elle est là
Devant moi
Simplement parce que je me suis noyé
En ses délicates pupilles
Si fragiles
Infantiles

Regards partagés
Regards éphémères
Sentiments Infinis.























Etranger
Dans ton cœur
Dans tes mœurs
Dans tes pleurs
N'ais pas peur
Je ne compte pas pour toi
Toi si, énormément
Je donnerai ma vie pour toi
Tu ne le sais pas
Tu ne me vois pas
Tant mieux
Les fantômes sont aussi libres que l'air
Mais leur pensée n'est pas claire
Mitigée, disons embrumée
La mienne est claire
La tienne aussi

Je le serais toujours
L’inconnu
Tu le seras toujours
Mon amour
Au pourtour
Au plus profond
De ma mémoire














Je veux me tuer.
Me noyer.
Au plus profond de ton regard.
Là où les aurores boréales
Ne son que des éclairs de génie
De ton humble personne.
Je veux te serrer dans mes bras.
Je veux que tu me serres dans tes bras
Comme tu n'as jamais serré personne.
Je veux te susurrer " je t'aime "
Des milliers et des milliers de fois.
Variations sur le même t'aime.
Clin d'œil à mon cours
A toi, Princesse.
A la distance, surtout.
Celle qui m'empêche de réaliser mes désirs ci-dessus.

Amour impossible
Douleur Infinie
Distance.










Ode à l’amour.
Ode à l’amour qui,
Après toi et la vie
Est une de mes seules raisons de vivre.
L’amour est une drogue
Pure et dure
Qui me hante
Avec l’acharnement d’un dogue
Au fur et à mesure
Que mon destin s’invente
Avec ses hauts et ses bas
Ses sommets et ses fonds
Mais où Manau a raison
Qu’on le veuille ou pas
L’avenir est un long passé
Construit d’amour et d’amitié.
Et qui dure à jamais
Ce qui est parfait
Pour savourer entière
La beauté de la vie.
Ma vie.
Imparfaitement réussie.





























Ô souvenir !
Souvenir de sa mort
Qui me hante autant qu’elle
Toutes les nuits
Toutes les nuits je pense à elle
Ma belle qui n’a plus d’ailes
Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il grêle
Je lui disais « je t’aime »
Je t’aime à la folie et mon bonheur tu sèmes
Elle était ma vie
Puis est venue la pluie
Pluie qui violement nie
D’avoir éteint si vite
Les flambeaux de nos cœurs
Elle l’a noyée un jour d’été
Où je m’étais absenté
Saloperie de la vie
Imparfaitement réussie.

Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.





























Toi.
Toi qui, à chaque instant, donne de la consistance à ma vie.
Toi qui, à chaque instant, donne un sens à mes gestes.
Je t’aime.
Je t’aime, tu es ma vie et ma vie tourne autour de toi.
Mon monde aussi d’ailleurs.
Avec chocs hasardeux et heurs.
Il pleure.
Il pleure la vie et la pluie
Mais surtout la mort
Qui arrache sans remords
Et charrie tous ces corps
Vers la putréfaction éternelle
Et toutes leurs âmes
Vers le paradis éternel.




































Mon cœur bat à l’instant où je pense à toi.
Mon cœur saigne à l’idée de ne pas te rencontrer.
Mon cœur pleure à l’idée de vivre sans toi,
Mon bonheur.
Mon cœur est joie avec toi.
Mon cœur est flaque de sang sans toi.
Flaque qui s’agrandit à chaque absence,
Chaque jour passé sans tes mots.
Mon cœur était autrefois balayé par une foule de sentiments contradictoires.
Maintenant il y a toi, l’anticyclone.
Avec un A comme Absolu.
Avec un A comme Amour.
Avec un A comme Arbre, aux multiples branches.
Mon cœur meurt sans toi.
Je t’aime.




































Personne aux alentours
Coup de foudre
Mon amour
Ne peux se dissoudre

Ma passion Infinie
Pour elle
Ne peut être finie
La flemme

Je l’aime.

Les étoiles qui brillent en ses yeux,
Magnifiques.
Dominent mes rêves bleus,
Lyriques.












































Elle me manque
Comme si une partie de ma vie
Avait littéralement disparue
Comme si l’amour infini
Après s’être repu
S’était lassé de moi
Avait perdu l’envie
De venir chaque nuit
Hanter chacun de mes rêves
Comme s’il faisait une trêve
Et qui dure à jamais
Comme le drame éternel
De mon existence charnelle.
Moi je suis devenu blême
Et j’ai décidé libre
De redonner l’envie
A l’amour endormi
De revenir habiter
Mes pensées et mes gestes.
J’ai décidé de la revoir
Puis je l’ai invitée
A la table d’un café
A venir partager
Nos problèmes, nos déboires
Enfin j’ai lassé choir
Sous ses beaux yeux noirs
Mes sentiments infinis.
























Je t’aime.
Je t’aime et l’Univers bat à l’instant où je prononce ces mots.
L’Univers et mon univers.
Mon univers et ma vie.
Ma vie tourne autour de toi.
Sans tes yeux, je me perds.
Sans ta voix, je suis sourd.
Sans toi, je ne suis rien.
Sans toi je meurs.
Où tu veux, j’irai où tu voudras.
Parce que là où tu n’es pas,
Je n’ai pas ma place.
Parce que vivre sans toi m’est impossible.
Parce que l’amour que je te porte
Est plus puissant que la mort,
Et qu’il peut aussi me tuer.
Parce que chaque jour sans toi,
Chaque seconde et chaque heure,
Sans ta présence réconfortante
Est aussi triste que la Mort.
Parce que ta mort me tuerait.
Pour toutes ces raisons et pour des milliers d’autres.
Je t’aime.
Et ces trois mots font l’effet d’un gong qui sonne sur mon avenir et sur ma vie.



























Timidité.
Toi qui m’empêche à chaque fois
De déclarer ma flamme.
Et qui sans pitié
Me prive sans émoi
De celle qui a mon âme.

Pourquoi ne me laisses-tu pas,
Enfin lui dire en Paix.
Que je passerai trépas,
Mourrai s’il le fallait.
Je le jure mon cœur elle l’a
Si seulement elle le consentait.

Je l’aime d’un amour Infini.
Infiniment plus fort
Que la force d’Inertie
Qui est en soi un port
Du bonheur, mon ami.
Auquel je m’ouvre encor.

Je t’aime.
Sans toi j’ai la haine.
Sans toi ma vie est terne.
De vivre j’ai la flemme.















Jeunesse.
Printemps de la vie,
Princesse de mes jours.
En moi pour toujours.
Légèrement punie
Par la morale
De cette triste vie.
En attendant la Grande Faucheuse
Qui raccompagnera mon âme
Vers mon Ithaque natale.
Je pourrais revoir ma pénélope,
Ma princesse.
Et, par la fenêtre,
Apercevoir les pâturages pentus
De la Haute Alsace.
J'ai toujours cru aux anges
Et c'est grâce à ça
Que je l'ai rencontrée.
A eux.
Aux anges.
Depuis, je ne l'ai plus quittée.
Que adorée.
J'ai eu de la chance de ne pas la perdre.
Prise d'assaut par des OUB !
Euh... Des OUF ! Des FOUS !
Elle est morte de problèmes irl.
IncuRabLes.
Je la rejoindrais au Paradis,
Là où chantent les anges.



Liberté d'une pensée,
La mienne
Ecriture.











Rappelle-toi ces jours là
Moi j'étais heureux d'être là
Et toi tu pensais ça
Comme ci, comme ça
Rappelle-toi ces jours là
Où j'étais là pour toi
On suivait mes cours avec passion
Non pas en manque de sensations
Rappelle-toi ces jours là
Si tu t'en souviens dis le moi
Depuis ce jour-là j'ai compris
Que tu n'étais autre que moi
Quand j'étais un peu plus petit
Je me rappelle qu'avant ça
Moi je cherchais déjà
Une fille qui comme toi
Partageait mes goûts, mes plaisirs, mes joies...
Et toi tu es arrivée
Toute de beauté drapée
Alors moi j'ai bougé, vacillé, tremblé
Alors j'ai exprimé ce poème
Que je viens de t'écrire
Pour pouvoir revenir
Comme une hirondelle hivernale
Vers son coteau natal
Vers ces beautés endormies
Sur ce passé si lointain
Mais qui n'a pas de fin.















Non ! Pas une émotion physique !
Non ! Pas l'envie de la toucher !
Bonheur serein.
Voix qui retentit
Voie qui se dessine
Désir.
Qui brûle.
Qui m'envahit.
Me submerge.
Plus haut.
Silence ...
Un coup frappé à la porte.
Un coup frappé à mon cœur.
Il s'entrouvre
Joliment dur.
Joliment tendre.
Un sentiment nouveau l'envahit
Mon cœur revit
Mais ne veux pas revivre ce qu'il a déjà vécu.
Tant pis.
Il s'abandonne.
Je m'abandonne.
Complétement.
Je sais que cet amour n'est que de passage.
Comme d'autres.
Beaucoup d'autres.
Je sais que l'amour est la jouissance suprême

Amour partagé
Possibilités Infinies
Mais pas pour moi.


Aimer, c'est faire passer l'autre en premier.
Aimer, c'est aimer avant d'être aimé.
J'applique cette maxime en vain,
A l’ Infini.
Je sais,
Celle que je choisirai aura de la chance.
Le seul problème,
C'est que maintenant,
C'est à elles de choisir.
Déjà, mon cœur se referme.
Il redevient opaque.
Seuls les sentiments restent.
Infinis.
Douloureux.
Amour.
Solitude.
Tendresse trop cachée.
Violence à l'appui.
Et après je leur demande pourquoi je leur suis antipathique ?
Je sais.
Je connais la réponse.
Amour.
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